vendredi 29 août 2008

L'eau dans notre environnement

En atelier de français, avec le groupe B, nous avons étudié le thème de l'eau.
L’eau est le liquide le plus courant sur terre. Sur terre, il y a 97% d’eau salée. A ce jour, l’eau constitue la boisson indispensable à notre vie. Elle sert également à se laver, aux tâches ménagères, à l’arrosage des cultures pour les agriculteurs et l’industrie. Malheureusement, elle est souvent gaspillée, à cause de l’installation progressive du confort moderne : le lavabo, la douche, la baignoire, les toilettes.
Ainsi la consommation en eau domestique est bien difficile à évaluer du fait de la multiplicité des usages. Dans le monde elle est estimée à 40 litres par jour et par habitant dont : 7% pour l’alimentation et 93% pour l’hygiène et le nettoyage.
C’est pourquoi, ne gaspillons plus l’eau, cette matière si précieuse à notre vie sur cette terre, car sans elle nous ne serions plus là.

Texte rédigé par Pascal et saisi par Najet.


lundi 25 août 2008

A la découverte de la ville d'Alençon

Jeudi 21 août, nous avons fait un « rallye » pour mieux connaître Alençon. Au départ, Karine et Patricia, deux formatrices, nous ont donné des questions et un itinéraire à suivre à pied.
Il y avait des questions sur l'architecture par exemple, ou sur des personnages importants, comme le Maréchal Foch et Sainte-Thérèse.
Les questions avaient parfois un sens caché, avec des devinettes et des jeux de mots. On a demandé de l'aide aux passants mais aussi à la mairie, au palais de justice et au cabinet d'architectes.
On ne connaissait pas trop le centre ville, surtout les ruelles, les petites
cours. Ca nous a permis de nous arrêter devant des monuments et de bien les regarder. Et puis travailler en groupes nous a permis de mieux nous connaître.
Vendredi 22 août, nous avons mis en commun toutes nos réponses.


Voici un extrait du questionnaire :

Quels outils de mesure sont situés à gauche de l’entrée de la mairie ?
Un thermomètre et un baromètre
Qui a dessiné les plans de l’Hôtel de Ville ?
L’architecte Delarue
En l’honneur de qui le Palais de Justice a-t-il été construit ?
De Napoléon
A quoi sert le château maintenant ?
De prison
Que s’est-il passé entre 1940 et 1944 au château ?
Des patriotes ont été martyrisés et exécutés par la Gestapo

Descendez la rue de la « Citadelle ». tournez à l’endroit où vous devrez y « respirer à pleins poumons avant d’en boire ».
Quelle est la forme particulière de cette rue ?
Un U
Descendez vers le tricolore.
Quel est le nom de la maison à colombages rouges ?

Les 7 colonnes
Qui occupait cette maison en 1572 ?
Le bourreau
Bifurquez à tribord, il est difficile d’en « franchir le seuil sans avoir un coup de fatigue ».
Quel est le nom de l’édifice qui vous fait penser à De Vinci ?
L’église Saint Léonard
« Effeuillez la pâquerette en dévorant la quiche, vous y trouverez la Vierge et son enfant.
Quel est le nom de la place où vous voyez la Vierge et son enfant ?

Place Marguerite de Lorraine
Abandonnez la Vierge et continuez. Il faut cependant se plier au nombre de commandements.
Où se trouve la plus vieille maison d’Alençon ?

Au 10 rue Porte de la Barre
Faites demi-tour et dirigez-vous vers la rue des « rillettes » et partez à la « chasse derrière Jacques-René »
Donnez les dates de naissance et de décès de cet homme.
1757-1794
Tournez à droite à l’entrée de la cour puis au fond à gauche et reprenez à côté de la pompe à eau le petit couloir.
Entrez dans « le lieu de récréation du mammifère marin »
Quel est le nom de ce lieu ?

Cour du Dauphin
Sortez de cet endroit et prenez la cour suivante de « l’animal de ferme rose sale ».
Quel était le nom d’épouse de Mme Cochon de Vaubougon ?
Mme de la Peltrie
Pourquoi était-elle connue ?
Elle a créé la premier monastère des Ursulines à Québec
Dans cette même cour, qu’est-ce qui vous fait penser à un renard ?
La galerie d’art Jacques Goupil
...

vendredi 1 août 2008

Les mots et le hasard dans la nature...


Sonia, formatrice de La Boîte aux Lettres qui anime l’atelier d'écriture à l'Epicerie Sociale, nous a demandé d’imaginer un bout de phrase commençant par «C’est...». Elle a préparé à l’avance des mots et, jouant avec le hasard, on a réuni ses mots avec nos phrases.

Le bonheur, c’est le vent qui chante.
L’immensité, c’est un oiseau dans le ciel.
Le rêve, c’est un amour qui rayonne comme un soleil.
L’enfance, c’est comme des fleurs qui dansent.
La vie, c’est les arbres qui poussent.
La nuit, c’est un dimanche sans lumière.
La nature, c’est comme un enfant qui joue.
L’aventure, c’est bon comme une crème glacée.
Les vacances, c’est la belle vie.


Sonia nous a demandé ensuite d’imaginer une phrase commençant par « Parce que ». On a associé nos réponses avec ses questions, que nous ne connaissions pas avant.

Pourquoi il y a du vent ?
Parce qu’il y a la mer.


Pourquoi les nuages volent ?
Parce que la politesse est la plus belle chose de la vie.


Pourquoi l’herbe est verte ?
Parce que la vie sans amour, il n’y a plus de nature.


Pourquoi les fourmis sont si petites ?
Parce qu’elles parlent bien français.

Pourquoi les arbres ont des racines ?
Parce que la nature n’a pas de frontière.


Pourquoi la terre est ronde ?
Parce qu’elle est fabuleuse.


Pourquoi on est bien ensemble ?
Parce que j’aime la vie.


Rohda, Estrela, Charlotte, Fati, Louise, Mama, Nürten.

A l'atelier d'écriture (Epicerie Sociale le vendredi matin)

Un jour à l’envers…

Je sors mon gâteau du four. Je sépare la farine, les œufs et le sucre. Je mesure le sucre. Je me dis : « Ca serait bien de faire un gâteau ! »
Je prends la brosse pour faire des nœuds dans mes cheveux.
Fatma.


Je vais faire les courses. Je vide mon caddie. La caissière me remet des sous. Je sors un gâteau du four et je mets de la levure. Je range les aliments dans le placard.
Charlotte.


J’éteins la télévision, je change de chaînes, je pleure au début du film et j’ouvre le programme télé.
Sonia.


Je n’ai pas été chercher ma mère pour garder les enfants. J’ai fermé la porte. J’ai déshabillé ma fille. Pour préparer son lait, j’ai vidé le biberon. J’ai retiré le lait du micro-onde. Je suis sortie de la salle de bain et je me suis démaquillée.
Nürten.


Je me réveille mais le jour n’est pas le même que les autres jours. Les choses ne sont pas les mêmes. Le soir se lève. On commence à manger, à déjeuner, à faire la fête.
Najet.


J’ai sali la vaisselle puis j’ai préparé le repas avant de me lever. Je vais aller dormir dans la salle de bain. J’ai fait chauffer la pizza et je la donne au chat.
Salimata.

Je prends mon petit-déjeuner dans les toilettes. Je bois mon Coco Chanel. J’enlève le beurre de ma tartine, je la mange et je me réveille. Je m’habille et je prends mon bain. J’habille mon fils et je le mets dans la piscine vide.
Mama.