Mercredi 30 avril, on a été au centre Edith Bonnem; on a fait un jeu de l'oie sur les gens sans papier. On a regardé une exposition de photos sur les gens qui n'avaient pas de papier dans les centres de rétention : c'est comme une prison. Ça nous a beaucoup ému.
On avait chacun l'identité d'une personne sans papier. J'avais l'identité de Yin une jeune étudiante qui vient de Chine. Pendant le jeu, j'ai été deux fois en centre de rétention ; ça m'a fait beaucoup de mal, j'étais très émue, j'en ai fait des cauchemars.
AURELIE G.
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