Nous avons voyagé sur les traces de la Caravane d’Or le mercredi 14 janvier .Nous étions cette après-midi-là dans un car pour aller au musée des Beaux Arts, au Conservatoire de musique , à la Luciole et au théâtre. Nous avons fait la connaissance des artistes plasticiens et nous avons découvert leurs œuvres qui était belles .Nous avons fait le circuit en trois volets.
Le premier volet :
le Conservatoire de musique et le Musée.
Michel Froger nous a accueillis au Conservatoire de musique pour nous faire voir son œuvre qui s’appelle l’ « Arbracadabra ». Il a fait participer les habitants d’Alençon. Il nous a expliqué qu’il était artiste plasticien et musicien. Il recherche des mots sur un arbre. C’est pour ça qu’il a fait participer les habitants d’Alençon.
Nous sommes allés voir au musée des Beaux Arts et de la Dentelle Elisa Fiasca qui nous a accueillis pour nous faire voir ses œuvres sous les arcades de la cour carrée. Son sujet est sur la dentelle et le henné. On a découvert les dessins d’Elisa Fiasca.
En décembre, au centre socio-culturel Paul Gauguin, elle nous avait fait faire des choses avec du henné et de la dentelle d’Alençon. C’était un travail tellement fin - comme si c’était de la dentelle, sur un tissu qui n’est pas du tissu : c’est de la fibre de verre. La fibre de verre est une fibre qui résiste à tous les temps.
Mercredi, on a découvert sous les arcades l’œuvre qu’elle a faite avec nos mains. Les dessins étaient réalisés en partie par Cynthia, Marie-Pierre et les habitants d’Alençon. Ces oeuvres s’appellent « Toutes voiles dehors ».
Les voiles qu’on a vues au musée, faites par Elisa Fiasca, sont la projection de l’œuvre d’un grand artiste (Eugène Delacroix) : « La Liberté guidant le peuple ». Elle a transformé ce tableau très connu. Les toiles font trois mètres de hauteur sur 2,25 mètres de largeur. Elle s’est inspirée des gens qui sont passés dans la Caravane d’Or. En souvenir de leur travail, elle a fait des photos.
Nous sommes allés voir au musée des Beaux Arts et de la Dentelle Elisa Fiasca qui nous a accueillis pour nous faire voir ses œuvres sous les arcades de la cour carrée. Son sujet est sur la dentelle et le henné. On a découvert les dessins d’Elisa Fiasca.
En décembre, au centre socio-culturel Paul Gauguin, elle nous avait fait faire des choses avec du henné et de la dentelle d’Alençon. C’était un travail tellement fin - comme si c’était de la dentelle, sur un tissu qui n’est pas du tissu : c’est de la fibre de verre. La fibre de verre est une fibre qui résiste à tous les temps.
Mercredi, on a découvert sous les arcades l’œuvre qu’elle a faite avec nos mains. Les dessins étaient réalisés en partie par Cynthia, Marie-Pierre et les habitants d’Alençon. Ces oeuvres s’appellent « Toutes voiles dehors ».
Les voiles qu’on a vues au musée, faites par Elisa Fiasca, sont la projection de l’œuvre d’un grand artiste (Eugène Delacroix) : « La Liberté guidant le peuple ». Elle a transformé ce tableau très connu. Les toiles font trois mètres de hauteur sur 2,25 mètres de largeur. Elle s’est inspirée des gens qui sont passés dans la Caravane d’Or. En souvenir de leur travail, elle a fait des photos.
Le deuxième volet : La Luciole.
A la Luciole, nous avons fait connaissance de l’artiste plasticienne Marie-Noëlle Deverre. Quand on est arrivé à la Luciole nous avons vu les œuvres qu’elle avait faites sur les vitrines. Comme si on était un personnage imaginé ou dans un reflet, les œuvres ont été prises en photo (Pierrick Bigot) Elle nous a expliqué que ce sont des choses imaginées.
Marie-Noel Deverre a discuté avec les apprenants de la Boîte aux Lettres. Elle nous a expliqué la signification de ses œuvres en réfléchissant par exemple sur la phrase : « se glisser dans la peau de l’autre ». Elle a travaillé avec les gens qui habitent Alençon. Elle leur a demandé de laisser une empreinte dans ses œuvres.
Marie-Noel Deverre a discuté avec les apprenants de la Boîte aux Lettres. Elle nous a expliqué la signification de ses œuvres en réfléchissant par exemple sur la phrase : « se glisser dans la peau de l’autre ». Elle a travaillé avec les gens qui habitent Alençon. Elle leur a demandé de laisser une empreinte dans ses œuvres.
Le dernier volet : le théâtre.
On était au théâtre d’Alençon. Nous avons découvert des œuvres d’Agnès Rainjonneau. Elle a demandé à chaque personne qu’elle avait rencontrées à la Caravane d’Or quelle partie du corps elle pouvait prendre en photo (l’oreille, la bouche, le nez, les dents, la main, les pieds…).
Elle a fait des œuvres avec les photos qu’elle a prises. C’est comme s’il y avait un mot, une vie dans chaque cadre. C’est comme si on était dans un cadre et on avait une partie de notre corps humain « pris ». Nous avons vu le « circuit des pots » de grigris. Car ça avait un sens : c’était en forme de mot spirale. Elle avait vu qu’il n’avait pas de jardin à Perseigne. Elle a appelé son œuvre « Une vie derrière chaque fenêtre ».
Elle avait demandé aux habitants quelles lettres de l’alphabet ils voulaient. Elle a mis dans ces pots une sorte de tige en ferraille. C’est l’œil des habitants qui n’ont pas de jardin. On a fait le tour du théâtre ; on a vu des papiers en forme de lettre, en forme de poésie, des mots doux (« Les mots sont des oiseaux ») qui voyagent. On a vu dans un passage plongé dans la nuit, des lumières, d’autres œuvres d’Agnès Rainjonneau. C’est ce qu’on a retenu au cœur de cette aventure . Ils se sont inspirés des habitants d’Alençon ou des pays lointains.
Véronique, aidée par Fatma pour la saisie sur l’ordinateur.
Elle a fait des œuvres avec les photos qu’elle a prises. C’est comme s’il y avait un mot, une vie dans chaque cadre. C’est comme si on était dans un cadre et on avait une partie de notre corps humain « pris ». Nous avons vu le « circuit des pots » de grigris. Car ça avait un sens : c’était en forme de mot spirale. Elle avait vu qu’il n’avait pas de jardin à Perseigne. Elle a appelé son œuvre « Une vie derrière chaque fenêtre ».
Elle avait demandé aux habitants quelles lettres de l’alphabet ils voulaient. Elle a mis dans ces pots une sorte de tige en ferraille. C’est l’œil des habitants qui n’ont pas de jardin. On a fait le tour du théâtre ; on a vu des papiers en forme de lettre, en forme de poésie, des mots doux (« Les mots sont des oiseaux ») qui voyagent. On a vu dans un passage plongé dans la nuit, des lumières, d’autres œuvres d’Agnès Rainjonneau. C’est ce qu’on a retenu au cœur de cette aventure . Ils se sont inspirés des habitants d’Alençon ou des pays lointains.
Véronique, aidée par Fatma pour la saisie sur l’ordinateur.
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